A l'occasion de la journée mondiale de la toilette, le 19 Novembre, Libé nous fait une petite rétrospective sur la situation des cabinets dans le monde.
En vrac, on apprend que 2,6 Mds de personne n'en ont pas, que le nom de vespasienne provient de l'empereur romain Vespasien (69 ap-JC) qui créa les premières toilettes payantes du monde "moderne", que les sacs en plastiques que l'on peut voir aux abords des bidonvilles en Afrique ne sont pas vides ou encore que la cuvette inspire de très nombreux artistes et designers dans le monde (ici, le Toilet Museum).
L'innovation en matière de toilette n'est pas non plus délaissée avec 2 approches bien distinctes : le confort optimal et le respect de l'environnement. Question confort, l'exemple Google inspiré du modèle japonnais est très parlant : "panneau de contrôle permet à la toilette d'être en même temps un bidet avec des fonctionnalités avancées : nettoyage du derrière, du devant, chauffe-bol et séchage intégral. Des fonctions permettent même de choisir la pression et la forme du jet qui vous nettoie" nous apprend J-F Renaud.
Question écologie, les toilettes japonnaises sont plutôt bien vues. Mais la tendance à suivre est la toilette sèche qui fonctionne avec un terreau lombric/compost capable de faire économiser à un foyer moyen 30% sur sa consommation d'eau. Après quelques ajustements techniques, la toilette à lombricompostage pourrait bien être le must have du parfait écocitoyen !
Dernière anecdote scatophile trouvée sur wikipédia : "La Rochefoucauld se disait choqué par les mœurs anglaises, notamment par les pots de chambre près de la table que les gens utilisaient même pendant le repas, à la vue de tous". Vive le progrès...
Image : (Stringer/Reuters)
jeudi 27 novembre 2008
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